WE à Bleau !

Ce WE, étant sur paname, et la copine devant réviser ses exams, j’ai pu aller grimper en forêt samedi et dimanche ! Heureusement que nous étions plein de motivation et que nous nous étions levés tôt, car la plus est venue nous pourir la vie en milieu d’après midi samedi. Mais bon, j’ai quand même eu le temps d’enchainer Élucubration / Le Quark en départ sauter.

A l’arrivée de la pluie, on savait pas trop si ça durerait donc on a glandé un peu sous les arbres et j’ai pu tester ma slackline :) Bah pirée, j’avais oublié la tremblotte incontrolable de la jambe quand on pose le pied sur la sangle avant de charger pour monter !! Mais ça va, pas trop perdu depuis Mada ! J’ai hâte de pouvoir en refaire un peu plus longuement :) Ensuite les gros sont partis se mettre dans l’autre toit. J’ai fait 2 ou 3 essais dans les premiers mouv’ dArabesque.

Dimanche, rendez-vous à 9H30 à la salle avec Alux, puis direction Isatis. Le gros avait pour projet L’Insoutenable Légèreté de l’Être debout (très beau nom pour un bloc qui te fait te sentir looouuurd, mais loooouuuurrrrddd !!! :) En fin d’échauffement j’ai pu enchainer Le Faux Baquet avec une méthode avec un gros talon et un gros bloquage bras gauche. Dommage que la méthode soit un peu morpho : 1cm de moins et impossible de prendre la prise, j’étais pil poil dedans en étant tendu comme un string.

Voilou, après un ponçage en règle de la peau des doigts dans Insoutenable, on a tenté quelques autres trucs, dont 2 ou 3 jetés, sans succès. Bilan : 2 7A pendant le WE. C’est cool, j’ai perdu dans certains domaines, mais pas partout, le jour où je remonte sur Paris, je repartirais pas de trop loin, c’est rassurant :)

Edit: Quelques photos du WE

Alain Robert a encore frappé !

Alain Robert grimpant l'immeuble du New York TimesPour ceux qui ne connaissent pas, Alain Robert est un grimpeur français très connu. Pourquoi ? Parce qu’il a la manie d’escalader les buildings les plus impressionants un peu partout dans le monde … genre les twin towers … et tout récemment, l’immeuble du New York Times (haut de 228m, mais “facile” d’après M. Robert) Citation de l’article sur Le Monde en ligne :

Alain Robert, l'”homme araignée” français connu pour ses ascensions de gratte-ciel, a escaladé, jeudi 5 juin, les 52 étages de l’immeuble du New York Times, avant d’être arrêté par la police new-yorkaise. A mi-parcours, le long de la façade nord du bâtiment de verre, devant des milliers de personnes médusées, il a déployé un panneau de toile fluorescent sur lequel on pouvait lire : “Le réchauffement de la planète tue autant de gens chaque semaine que les attentats du 11-Septembre.”

“J’escalade à mains nues, il s’agit d’un acte pacifique pour attirer l’attention des dirigeants du monde entier sur l’urgence d’une lutte contre le changement climatique”, a déclaré le Français dans un communiqué distribué avant son escalade. Sur son t-shirt, on pouvait lire son nom en grandes lettres ainsi que l’adresse de son site Internet. Il a été arrêté en haut de la tour et mis en garde à vue par la police.

Le gratte-ciel de 228 mètres de haut qui héberge les bureaux du journal a été inauguré il y a quelques mois. L’immeuble a été construit selon des principes architecturaux respectueux de l’environnement et économes en énergie.

L’homme araignée” a déjà escaladé plus de 70 monuments à travers le monde, dont le siège de la Banque nationale à Abou Dhabi, devant 100 000 spectateurs, mais aussi la tour Eiffel à Paris, l’opéra de Sydney en Australie…

Jeudi, il a aussi fait un émule : six heures plus tard, un autre grimpeur, anonyme cette fois, s’est lancé à l’assaut de la tour du quotidien new-yorkais et a lui aussi été arrêté par la police à son arrivée sur le toit.

Le site du New York Times héberge une vidéo de l’évènement.

Sacré Alain :)

Rési ? Presque !

Petite séance de grimpe à la salle.

  • Echauffement général : 10min
  • Echauffement spécifique (4 vertes, 3 rouges) : 20min
  • Toutes les voies du double toit (+ de 10 mouv’) jusqu’au niveau violet : 1H
  • Travail de blocs durs : 1H
  • Etirements : 20min

Bon, j’ai à moitié réussit mon objectif. J’ai réussit à rester dans le double toit et à sortir toutes les violettes que je n’avais pas encore enchainées. Par contre arrivé au noir, je me suis pris un but dans une voie que je faisais facilement et ça m’a démotivé totalement, du coup, direction une nouvelle blanche et travaille de 2 / 3 autres trucs durs.
Ca s’explique probablement par le manque de repos depuis le début de la semaine. Je n’arrête pas de bourriner et je suis dans un état de courbatures perpétuelles, ce qui n’est pas franchement optimal pour perfer :)

Avantage : j’me suis arrêté assez tôt pour faire des étirements :p

Bouffage de nez

Aujourd’hui, séance un peu longue. Apparemment, on a le gymnase jusqu’à 21H au lieu des 20H initialement prévues. Moi je trouve ça cool, mes cuisses nettement moins :) Bon, la séance :

  • Echauffement général rapide (début de séance à 18H …. heure à laquelle j’arrive chez moi … donc je dois m’échauffer seul à l’arrache en arrivant :)) : 10min de footing / pas chassés / sprints / etc. + 5/10min d’échauffement des articulations
  • Echauffement spécifique : sauts de base par dessus un cheval + sauts de précision + variantes : 30min
  • Travail. Là c’est le joyeux bordel, on monte différents “ateliers” : trampoline + fosse pour bosser les accros, un long tapis dressé contre un mur pour le passe muraille et quelques figures avec appuis sur un mur : 1H
  • Quelques petits parcours entre aggrès pour bosser la précision, et finissage avec enchainement de saltos avant et arrière (histoire de finir de se détruire les cuisses) : 45min

Pourquoi bouffage de nez ? Parce qu’en fin d’échauffement, on avait mis des espèces de marches en bois avec du cuir dessus. Je sais pas comment ça s’appelle, mais en en empilant plusieurs, on peut faire une sorte de cheval d’arson de hauteur variable. Bref, là on mettait juste le dernier étage au sol pour faire un appuis solide et un peut surélevé sur le pratiquable, et le but était de courir, prendre appuis dessus, et sauter pour aller s’accrocher au tapis qui était dressé contre le mur … Bien évidemment, la marche était très loin du mur. Et bien évidemment, je suis incapable de calculer mes prises d’élan, et je me suis bouffer le tapis dans la face 2 ou 3 fois :)

J’ai 50 minutes de film de la séance. Le temps de numériser (va falloir ressortir mon vieil ordi avec la carte firewire …) et de monter tout ça, et y’aura surement une ‘tite vidéo.

Le parkour … mais késseussé ??

Bon, l’escalade, le roller, tout le monde connais, pas besoin de développer. Par contre le parkour … à part une grosse faute d’orthographe, la plupart des gens ne savent pas trop ce que c’est. Remédions à ce problème[1] :)

Le parkour, aussi connu sous le nom de free running[2] pourrait se résumer ainsi : “Le pakour est l’art du déplacement”.

Pour ma part, je vois le parkour comme une discipline permettant de rejoindre 2 points de la manière la plus direct / rapide / efficace possible. Par exemple, pourquoi perdre du temps à descendre un escalier quand on peut le sauter d’un coup ? Pourquoi faire tout le tour d’un parc pour en trouver l’entrée quand on peut en sauter le mur d’enceinte ?
Je me rend compte que c’est pas très facile d’expliquer ça par écris, donc on va faire plus simple. Allez voir les 2 liens suivants et regardez quelques vidéos :

video.google.com + parkour
video.google.com + free running

On remarque que dans pas mal de vidéos, les mecs placent des salto avant ou arrière et toutes sortes de figures impressionantes. Ca c’est de l’acrro. C’est pas du parkour. Un salto, c’est super joli et tout et tout, mais c’est pas ce qu’on a trouvé de plus efficace et rapide pour sauter du haut d’un mur. Mais bon, ça rend bien en vidéo, et c’est fun à faire :) Et autre avantage : ça donne de très bon repères dans l’espace, ce qui est extrêmement utile pour controler un gros saut et sa réception, etc.

Bon ben voilou, c’est probablement pas la définition la plus précise et juste du parkour, mais au moins maintenant on a une idée de ce dont je parle :)

Notes

[1] Tout ce qui suit est un mix entre ce que j’ai trouvé sur le net, ce qu’on m’a dit, et l’idée que je me suis faite de la discipline. Si je dis des conneries, faut pas s’énerver :)

[2] C’est pas évident de trouver des définitions exactes. En regardant des vidéos, ça a l’air d’être la même chose, mais il se peut que le free running ne soit pas tout à fait la même chose que le parkour, auquel cas je n’ai pas saisit la nuance :)

Roller, muscu et loose :)

Bon, après un rendez-vous un peu long chez l’ophtalmo (t’attends 20 minutes pour finalement te rendre compte que si tu préviens pas l’accueil que t’es arrivé, ils font passer les gens après toi … avant toi. Résultat rdv à 18H15 … passé à 19H15 …) enfilage de roller et direction Borely. En gros la partie roller de la soirée s’est résumée comme ça :

  • 20min pour aller à Borely
  • 40min de slalom, même pas foutu de refaire le un-pied arrière sur plus de 3 plots …
  • 20min pour rentrer

Avant de rentrer, je me suis quand même arrété faire un peu de muscu dans le parc (y’a plein d’agrès pour faire des tractions, des dips, etc. dans le parc Borely) Là aussi, dur dur. Probablement du à la séance d’escalade de la veille.

  • 5 tractions complètes[1] x 3 séries
  • 10 dips x 3 séries
  • 10 tractions décalées[2] x 2 séries

Notes

[1] Tu pars bras tendu sous la barre, tu prends un peu de balant, tu tractes et en profitant de l’élan, tu te rétablis au dessus de la barre, bras tendus en appuis sur celle-ci. Le but étant de faire le faire en un seul mouvement fluide et symétrique

[2] Ca ce sont juste des tractions entre 2 barres décallées, ce qui oblige à “sauter” entre les 2 barres. En gros, c’est un enchainement de jetés à deux mains en no-foot

Errements et manque de motivation …

Premier post de mon “cahier d’entrainement” perso. L’idée est de noter ce que je fais au fur et à mesure, noter mes impressions, etc. Et quand je serais un pépé tout frippé, je pourrais relire tout ça et me dire “pitain j’avais la fritte à l’époque ! Vindiou !” :)

Donc, grosse séance d’escalade (3h30 environ) Problème : manque de motivation totale. En gros, la séance s’est passé comme suit :

  • Echauffement rapide ~40min
  • Travail de nouveaux blocs courts (difficulté moyen / dur) : ~40min
  • Travail de blocs durs (un nouveau et un ancien à enchainer) : ~40min
  • Errement dans la salle en quête de motivation. Quelques jeux orientés “débile” avec des potes : ~1H
  • Bourrinage : jetés et no-foot : ~30min

Problème d’un sport aussi physiquement exigeant que l’escalade, c’est que dans les moments de démotivation, c’est extrêmement dur de faire quoi que ce soit d’utile … Pour progresser, obligé de forcer. La douleur et les efforts musculaires violents font partie intégrante de l’escalade, et ce n’est pas évident à supporter lorsque la motivation manque. J’ai pas encore trouvé de solution à part avoir quelques potes près à créer des jeux. C’est toujours plus marrant de grimper à plusieurs, essayer les mouvements improbables sortant de nos esprits tordus :) Mais si y’a personne … dur dur.

Objectif de la prochaine séance : rési / conti. Bosser uniquement des blocs où je suis capable d’enchainer 10 mouv’ et où le problème n’est pas la difficulté d’un mouv’ mais l’enchainement de la totalité (le syndrome des doigts / bras qui s’ouvrent malgré ce que ton cerveau leur dis …)

Boucles for et performance …

Bon ben une autre découverte. Pas vraiment neuve vu que j’avais déjà trouvé un article en parlant, mais je pensais vraiment pas que ça se vérifiait.

L’article parlait des boucles for et de la manière optimale de les écrire. Entre autres, il est recommandé de partir de l’élément maximal et de terminer à zéro (alors que la plupart des gens partent de zéro et termine à l’élément maximal) La raison invoquée étant que tester la différence à zéro est plus rapide que tester l’infériorité à une valeur différente de zéro … pour moi, n’importe quel test d’égalité (fut-ce <, >, <=, >=, !=, ==) prenait le même nombre de cycles du CPU … et bien non :

#define MAX 10000000

for (int i = 0; i < MAX; ++i)
// ... quelque chose à faire ici

for (int i = MAX; i != 0; --i)
// la même chose que précédemment

La deuxième boucle est plus rapide … même en mode release avec les optimisations à fond. Pas de beaucoup, mais j’ai été surpris. Du coup, autant prendre l’habitude d’utiliser la deuxième formulation.

std::string et comparaisons de chaines

Petite découverte aujourd’hui concernant les comparaisons de chaînes de caractères via les std::string’s.

Plusieurs manières existent pour comparer une std::string à une chaine de caractère : l’opérateur == ou != et la méthode compare() Après quelques tests, il se trouve que la méthode compare est beaucoup plus rapide que la comparaison via les opérateurs. Pas de code, pas de résultats, la flemme de le faire. Mais morale : Utilisez std::string::compare() !!